Mali : 35 dossiers d’adoptants français sélectionnés le 15 octobre 2010

 

A la date du 25 octobre 2010, plus de 90 dossiers sélectionnés lors de la commission du 25 septembre 2009 sont toujours en attente d’une proposition d’enfant.

Une liste complémentaire de 35 dossiers d’adoptants français a été transmise par la DNPEF à l’AFA le 15 octobre dernier au compte de l’année 2010.


Quelques précisions si vous faites partie de cette liste complémentaire
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  • Si vous êtes sélectionnés, vous serez avisés personnellement par courrier et via votre espace personnel (www.agence-adoption.fr), sous huit jours. La date de mise en attente au 15/10/2010 apparaîtra. Aucune information ne sera communiquée par téléphone.
  • Vous êtes invités à vérifier que votre confirmation annuelle d’agrément a bien été faite auprès de votre Conseil Général et transmise à l’AFA.
  • Les attributions d’enfants par les autorités maliennes se feront au fur et à mesure que des enfants seront déclarés juridiquement adoptables. Le délai d’attente peut donc varier de quelques semaines à plusieurs mois. Seule l’AFA est autorisée à transmettre les propositions d’enfants aux adoptants, les avocats ne peuvent, en aucun cas, servir d’intermédiaire entre eux et la DNPEF à cette étape de la procédure.
  • Il est interdit de prendre contact avec une pouponnière avant toute proposition d’enfant (article 29 de la Convention de La Haye de 1993). S’il apparaissait qu’un enfant avait été identifié ou réservé à des adoptants, la procédure d’adoption serait remise en cause.
  • Pour ceux qui souhaitent être représentés par un avocat pour la procédure judiciaire locale (c’est-à-dire après la transmission de la proposition d’enfant par l’AFA), il est conseillé de prendre contact avec le Consulat Général de France à Bamako qui possède une liste d’avocats spécialisés en adoption internationale.


L’autorité centrale malienne a rappelé à l’AFA que les candidats à l’adoption ne sont pas autorisés à contacter directement les pouponnières (ni par courrier, ni par téléphone). En cas de contacts directs, l’autorité centrale déclinera toute responsabilité.